Kana ma kan fi kadim el zaman ...
Il y a il n’y a pas et cela depuis fort longtemps,Un prince charmant
Qui tombe fort amoureux de sa belle au bois dormant.
Voilà comment, ici et là, commencent et finissent toujours nos histoires,
Sans début ni fin, sans problèmes ni histoires.
Les contradictions ne sont jamais résolues,
Les conflits non plus,
Sans pour autant empêcher que le prince charmant,
À la fin du conte, ne se marie avec la pauvre mais belle et jeune infantile,
Transformée, au détour d’un baiser furtif pré-nubile,
En princesse toute aussi charmante.
Contrairement à l’occident qui prétend tout résoudre sans rien résoudre,
L’orient ne résout rien sans rien découdre.
De ces deux méthodes, qui a tort, qui a raison, quelle bourde.
L’occident avance sur un orient qui recule
La réponse est peut-être ridicule.
L’un avance vers un je-ne-sais-quoi ou un je-ne-sais-où,
Tandis que l’autre recule vers un je-ne-sais-quoi ou un je-ne-sais-où.
Se retrouvent-ils quelque part dans la sratosphère ou dans le temps, tout à coup,
Voilà comment, ici et là, commencent et finissent toujours nos histoires,
Sans début ni fin, sans problèmes ni histoires.
Les contradictions ne sont jamais résolues,
Les conflits non plus,
Sans pour autant empêcher que le prince charmant,
À la fin du conte, ne se marie avec la pauvre mais belle et jeune infantile,
Transformée, au détour d’un baiser furtif pré-nubile,
En princesse toute aussi charmante.
Contrairement à l’occident qui prétend tout résoudre sans rien résoudre,
L’orient ne résout rien sans rien découdre.
De ces deux méthodes, qui a tort, qui a raison, quelle bourde.
L’occident avance sur un orient qui recule
La réponse est peut-être ridicule.
L’un avance vers un je-ne-sais-quoi ou un je-ne-sais-où,
Tandis que l’autre recule vers un je-ne-sais-quoi ou un je-ne-sais-où.
Se retrouvent-ils quelque part dans la sratosphère ou dans le temps, tout à coup,
Ou se perdent-ils tous les deux, à bout,
Dans une valse à deux temps, séparés à tout jamais, sur le coup.
Sans réponses à ces questions ni résolution du dilemme,
Mais, qu’à cela n’y tienne,
La vie continue comme elle a commencé,
Cahin-caha, un pied devant l’autre à peine divorcé,
De générations en générations, de bataillons en bataillons,
De conflits en conflits, de pertes en profits,
Un pas qui tienne l’autre qui traîne,
Un prince charmant et sa belle traîne,
Ils vivent longtemps, ils sont heureux,
Et font beaucoup d’enfants malheureux.
©2008 Marwan Elkhoury
Dans une valse à deux temps, séparés à tout jamais, sur le coup.
Sans réponses à ces questions ni résolution du dilemme,
Mais, qu’à cela n’y tienne,
La vie continue comme elle a commencé,
Cahin-caha, un pied devant l’autre à peine divorcé,
De générations en générations, de bataillons en bataillons,
De conflits en conflits, de pertes en profits,
Un pas qui tienne l’autre qui traîne,
Un prince charmant et sa belle traîne,
Ils vivent longtemps, ils sont heureux,
Et font beaucoup d’enfants malheureux.
©2008 Marwan Elkhoury
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